Trois Jeunes Tambours
ETIQUETTE RETRO INDÉ GÉNÉRALISTE DEPUIS 1993 LIBRAIRIE MUSICALE
             
Présentation Artistes Boutique Films Compilations Contact

 
  GAUCHE GUITARE  

Cliquer pour agrandir

Cliquer pour agrandir

Cliquer pour agrandir

vdo

NEWS

Oct 2020 : Carla voyage de par le monde, Thierry voyage de par ses nombreux projets musicaux.

 

 

 

LES GENS QUI S'AIMENT - 2ème album - 16 Février 2018.

Thierry Los et Carla Andipatin ont composé une vingtaine de chansons sur des poèmes en prose que celle-ci avait consignés dans ses carnets. Sur ces douze titres (ou treize pour les moins superstitieux) enregistrés à Paris, la guitare et la voix s’inscrivent dans un paysage musical tout en demi-teintes, clair et obscur à la fois, où la musique classique des instruments à cordes croise les accents rock de la guitare amplifiée. Ce contraste, on le retrouve tout au long de l’album, à l’écoute de la voix qui nous arrive de l’autre rive, celle de l’intime. Fragile, elle chante l’amour, le manque, l’absence ; une fêlure, une entaille dans la chair… fraîche.
La guitare aux accents surf (sous tranquillisants) de Léviathan et Cavalier noir donne le ton de ce deuxième album. Les rythmes sont lents, profonds, la musique tout en retenue égrène les notes. Les mélodies déroulent un chant triste et beau qui parle des blessures de l’amour, du temps qui passe et sépare les amants. La guitare et la voix, seules ou mariées aux instruments à cordes, disent la douleur de ceux qui ne sont plus aimés, la nostalgie du bonheur enfui, et nous transportent, par delà les peines et les joies, dans ce lieu solitaire où le cœur épanche son secret. Sont aussi convoqués les fantômes du Velvet Underground période Loaded (Love me, Si, Western), de Johnny Cash dont le père de Carla lui jouait les chansons pendant l’enfance (Orléans, Alcool), mais aussi ceux le la Rive Gauche et de la Nouvelle Vague (Bon Marché, Imparfait, Dieu seul le sait).

 

REVIENS - 1er album 6 titres - Nov 2015.

Une femme et un homme. Une guitare et une voix.
C’est à partir des poèmes en prose consignés dans ses carnets que Carla Andipatin et Thierry Los ont composés une vingtaine de chansons. Six chansons et un instrumental sont proposés sur un album sorti le 1er novembre 2015. La guitare et la voix s’inscrivent dans un paysage musical tout en demi-teintes, clair et obscur à la fois, où la musique classique des instruments à cordes croise les accents rock de la guitare amplifiée. Ce contraste, on le retrouvera tout au long de l’album, à l’écoute de la voix qui nous arrive de l’autre rive, celle de l’intime. Fragile, elle chante l’amour, le manque, l’absence. Une fêlure, une entaille dans la chair… fraîche. La guitare aux accents surf sous tranquillisants planent sur les 2 albums. Les rythmes sont lents, profonds, la musique toute en retenue égrène délicatement les notes. Les mélodies déroulent un chant triste et beau qui parle des blessures de l’amour, du temps qui passe et sépare les amants. L’influence de Michel Legrand et Philippe Sarde imprègne des morceaux très cinématographiques, dans le style des films de Sautet avec Romy et Piccoli, ou de Jean- Luc Godard avec Anna Karina. La guitare et la voix, seules ou mariées aux instruments à cordes, disent la douleur de ceux qui ne sont plus aimés, la nostalgie du bonheur enfui, et nous transportent, par delà les peines et les joies, dans ce lieu solitaire où le cœur épanche son secret.

 

BIO CARLA ANDIPATIN

Née à Londres d’une mère française de Normandie et d’un père sud-africain d’origine indienne, Carla Andipatin a grandi en France et a repris des études de Lettres à Paris où elle habite.
Après des études de musique au Conservatoire National de Paris (violoncelle), elle fait la rencontre du réalisateur polonais Andrzej Zulawski (« Possession » avec Isabelle Adjani, « L’important c’est d’aimer » avec Romy Schneider et « L’amour braque » avec Sophie Marceau). Il lui propose un rôle dans un film qui ne verra jamais le jour et l’oriente vers le cinéma et l’écriture de scénarios. Elle suit une formation de trois ans en art dramatique au Centre Américain (cours de Blanche Challand) puis au cours Florent, et écrit son premier court métrage de fiction. « Ma rencontre avec A. Zulawski a été déterminante pour moi. Il m’a transmis son amour du cinéma, m’a appris l’écriture scénaristique et m’a introduite dans ce milieu qui était totalement nouveau pour moi. » Elle joue et chante au théâtre dans la comédie musicale de Clément Révérend « La Découverte du Nouveau Monde » avec lequel elle co-compose la musique et assure l’adaptation du texte de J.J Rousseau.
Dix ans plus tard, elle revient à l’écriture par le biais du scenario de courts et de long métrage et par le journalisme : presse écrite et édition (Relaxnews, Nova Mag, VSD…) ; l’audiovisuel et la télévision (La Cinquième « Les écrans du savoir », la chaîne Spectacle) et pour des chaînes internationales comme WTN et ITN.
Entre 2003 et 2006, elle a écrit et réalisé deux courts-métrages de fiction : « Shopping »  (co-réalisatrice) de 15 mn ;  « Le mal de Catherine » (16 mn) et un long métrage « Chambre N°8 »  produit par Koala Prod. Après le tournage, elle fait la rencontre de Thierry Los alors qu’elle est à la recherche d’un compositeur pour la musique de son film. De cette époque datent leurs premières compositions pour une commande de films pilotes sur le web, la série musicale « Rock Voisins ». « Thierry m’a demandé de chanter. J’ai longtemps hésité à me remettre au chant après toutes ces années, mais je ne regrette pas d’avoir suivi son conseil, car de cette collaboration est né un projet plus personnel d’après mes propres poèmes que nous avons transformés en chansons. » 
Carla se rappelle : « A la maison, c’était la zizanie. Ma mère détestait la musique de mon père, la country, le blues… Elle, c’était LA musique, la seule, la musique classique. Tous les soirs, quand mon père rentrait du travail, je le retrouvais au grenier où il me chantait ses chansons en s’accompagnant à la guitare : Johnny Cash, Nat King Cole, Harry Belafonte… Dans cet album, j’avais le souhait de mêler ces deux influences, la musique classique d’une part et le folk, le blues aussi. C’est un peu comme si j’avais voulu réconcilier mes parents, je suppose... Par bonheur, Thierry Los partageait les mêmes goûts que moi. On s’est très bien entendu sur le plan artistique. Mais bien sûr, ces influences musicales ne sont que les racines de cet album sur lesquelles se sont greffées nos inspirations personnelles et culturelles, celles du pays où l’on a grandi, la France de Michel Legrand et de Jean Luc Godard. » Depuis 2014, elle a repris ses études en linguistique et sciences sociales.

 BIO THIERRY LOS

Auteur et compositeur, leader du groupe Vegomatic, producteur et éditeur discographique, Thierry Los est venu à la musique après un détour par Sports-Etudes, section Natation. « Chaque fois que je battais un record personnel, mon père qui était aussi mon entraîneur, m’offrait un 33 tours. C’était le deal qui me motivait… J’avais 13 ans et à cette époque-là, comme tous les ados, j’écoutais surtout du rock. Mais pas seulement. Le premier album 33 tours que j’ai acheté enfant avec mon argent de poche, fut celui de la musique du film de Jacques Demy : « Peau d’âne. » En 1982, Thierry Los assiste à un concert des Cramps à Paris. Il se projette sur la scène en la personne de Lux Interior et veut troquer son look de sportif sceptique contre la dégaine débraillée et nonchalante du dandy trash, chanteur de ce groupe américain ; il rêve de monter sur scène.  On est en 1984, en pleine période New Wave post Joy Division, Cure and The Smiths. Pendant son service militaire au Bataillon de Joinville (équipe de France militaire), Thierry Los apprend à jouer de la guitare. Mais c’est seulement trois ans plus tard, après la mort de son père, qu’il se sent enfin prêt à se jeter dans la musique sans filet. Il avait fait un DUT de publicité, croyant qu’il ne pourrait jamais vivre de la musique, mais cette fois, il envoie tout promener, décidé à concilier le travail et son amour pour la musique. Il crée son premier groupe avec son frère et sa compagne, et ils se produisent sur scène en reprenant tout d’abord des titres 60’s des Remains et des Animals. Entre deux compositions, Thierry collectionne les vinyles, il est de tous les concerts, curieux de tout ce qui se fait de neuf sur la scène musicale, en France et dans le monde anglo-saxon. Il crée le label Trois Jeunes Tambours et travaille à un premier album. Cette fois, Thierry chante en français sur de la musique pop-rock pour faire partager ses goûts anglo-saxons au public français. Ce premier album sorti en 1993 attire l’attention des maisons de disque et reçoit un accueil chaleureux dans la presse. Puis les choses sont allées très vite : le label de Thierry Los signe avec un distributeur indépendant et le groupe part en tournée en France et finit en apothéose aux Eurockéennes de Belfort 1995. Une signature avortée chez Barclay marque un temps d’arrêt à sa carrière personnel et il se met à produire d’autres groupes.  Mais on le retrouve trois plus tard, en 1998, sous le nom de Vegomatic avec un son nouveau, qui conserve ses racines  garage 60’s et Surf Music, mais où se mêlent des sons électros à la Kraftwerk et Daft Punk. Les albums distribués dans le circuit indépendant leur gagnent un succès d’estime. Esthète, glamour, novateur et déjanté, le quatuor de la scène parisienne fait des émules.
Les goûts éclectiques de Thierry Los, son besoin d’innover, le portent dans le monde de la Haute-Couture et du design avec le créateur italien Maurizio Galante et l’iranien Morteza Pashaï pour lesquels il compose la musique de leurs défilés Haute-Couture. Outre les défilés de mode et les expositions de design, la musique de Thierry Los a infiltré les jingles TV, la publicité et les documentaires par le biais de ses collaborations avec divers gros éditeurs de musiques. Depuis 20 ans, Trois Jeunes Tambours a produit près de 20 albums avec des artistes comme Tétard, Massimo Guadalupi ou Hervé Zerrouk.
Mais en 2007, après la signature de son single « Don’t Give up Now » chez Mercury, sous le patronyme de MONTLERY, Thierry Los éprouve le sentiment d’être allé au bout de ses ambitions. La quarantaine bien tassée, il aspire à découvrir d’autres horizons et se sent attiré par la comédie. Il demande à l’auteure et réalisatrice Carla Andipatin d’écrire et de réaliser des films pilotes pour le web, ROCK VOISINS, dans lesquels il jouera un rôle de musicien assez parodique. Du vécu.
Expérience régénérante puisque il a depuis co-composé 2 albums avec le soul man Myles Sanko, réactivé son label pour signer de nouveaux artistes et monté sa maison de production pour réalisé et produire son 1er long métrage, Vegomatic Trip (à sortir en accompagnement de l’album du même nom en février 2016) et le court--métrage Forbidden Beach avec The Surfin Robots.…

Après toutes ces années de scène et de production effrénée, sa rencontre avec Carla Andipatin lui a donné l’envie d’explorer un style musical plus intimiste et mature. Sa collaboration avec la violoniste Lucille Vallez (Pony Express, RedEye…) qui lui présente l’arrangeur Emmanuel Hugues, lui donne l’idée d’habiller élégamment leurs compositions guitare-voix minimalistes d’un quatuor à cordes. Ce duo est ainsi le fruit d’une lente maturation et d’une collaboration assidue pendant plus de sept ans avec Carla Andipatin.

vdoWATCH

 

LISTEN

Album "les gens qui s'aiment" 16 février 2018.

itunes

Cliquer pour agrandir

Album "Reviens" (2015)

itunes